📍 Du lever du jour jusqu’au cœur de la nuit, dans les ruelles animées de Paris ou des grandes villes du XIXe siècle, une silhouette familière arpentait les trottoirs, crochet sur l’épaule et lanterne à la main : celle du chiffonnier.

📍Dans les ruelles étroites des villes d’autrefois, quand la peste et les épidémies rôdaient, un personnage singulier se faisait indispensable : l’attrapeur de rats.

📍Avant l’arrivée de l’eau courante dans les foyers, une partie de la population urbaine dépendait d’un métier devenu impensable aujourd’hui : celui de porteur d’eau. 📍 Direction les paroisses et cathédrales du XIXe siècle, où la chaisière régnait en maîtresse discrète mais incontournable, au service des fidèles… et de leur confort spirituel.

Direction les foires, les marchés bruyants et les rues encombrées des villes d’autrefois. Là où il fallait se frayer un chemin dans la foule et manœuvrer de lourdes charges… entre en scène le pousseur de foire.

Aujourd’hui, direction les foyers populaires d’autrefois, là où l’hygiène était rare et les parasites omniprésents. Entrons dans le quotidien d’un métier aussi répugnant qu’utile : le chasseur de poux.

✒️ Plongée dans un métier méconnu… mais indispensable dans les églises d’autrefois. 📍 Direction les paroisses et cathédrales du XIXe siècle, où la chaisière régnait en maîtresse discrète mais incontournable, au service des fidèles… et de leur confort spirituel.

Aujourd’hui, cap sur un métier aussi redouté qu’incontournable dans l’Europe d’Ancien Régime : celui du bourreau.

Aujourd’hui, retour au XIXᵉ siècle, dans le Paris en pleine transformation d’Haussmann. Entre cafés, marchés et rues bondées, un métier inattendu voyait le jour : le pisseur professionnel.

ujourd’hui, cap sur les vastes champs après les moissons, là où la vie rurale s’organisait autour de la terre et de chaque épi de blé : bienvenue dans le quotidien des glaneuses.

📍Aujourd’hui, direction les arrière-salles enfumées des villes d’Ancien Régime, là où l’on misait gros, buvait sec et discutait fort : bienvenue dans le royaume des tripotiers.

Dans les grandes maisons bourgeoises ou aristocratiques, chaque geste de la maîtresse de maison était accompagné, observé… et souvent orchestré par une femme de l’ombre : la dame de confiance.

Avant la médecine moderne et les antibiotiques, on pensait que beaucoup de maladies étaient dues à un excès de sang. La solution ? Faire couler ce sang... et c’est là qu’intervenait le saigneur, ou "sanglueur".

Avant les serviettes de plage, les shorts de bain et la crème solaire, aller à la mer était une affaire de pudeur… et d’organisation ! C’est là qu’intervenait le loueur de cabine, figure incontournable des plages à la Belle Époque.

Parmi les métiers les plus précaires et répandus de l’Ancien Régime jusqu’au début du XXe siècle, on trouve celui de journalier : un travailleur payé… à la journée.

Avant les timbres autocollants, coller une enveloppe était un geste… gustatif. Eh oui, il a un temps existé un métier peu connu et plutôt insolite : lécheur de timbre !

Avant les standards automatiques, les IA et les téléphones portables, une voix douce et vive était la clé de nos communications : celle de la demoiselle du téléphone, aussi appelée « téléphoniste » ou « opératrice de standard ».

Aujourd’hui, partons à la découverte d’un métier nocturne, moralisateur et très officiel : le chasse-coquins.

À une époque où les téléphones n’avaient ni alarme, ni batterie (ni existence, en fait !), certains métiers faisaient office de technologie… humaine. Aujourd’hui, zoom sur un métier aussi surprenant que réel : le réveil-matin humain, aussi appelé "knocker-upper" en Angleterre.

Dans les métiers oubliés qui ont façonné notre quotidien sans jamais passer à la postérité, il y a le cribleur de sable.

Au fil de mes recherches, certains métiers flirtent entre histoire, théâtre et escroquerie joyeuse… et aujourd’hui, je vous présente une figure haute en couleur : le charlatan.