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Nos métiers d’antan : Chasseur de poux

  • Bérénice Tarcher
  • il y a 4 jours
  • 2 min de lecture

✒️ Une plongée dans l’histoire des métiers oubliés… parfois nécessaires, parfois peu ragoûtants.


📍Aujourd’hui, direction les foyers populaires d’autrefois, là où l’hygiène était rare et les parasites omniprésents. Entrons dans le quotidien d’un métier aussi répugnant qu’utile : le chasseur de poux.


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💼 Le métier

Le chasseur de poux proposait ses services pour débarrasser les personnes infestées de poux et de lentes. Armé de patience et parfois de petits outils, il inspectait chevelures, vêtements, draps… et éliminait un à un ces indésirables. Un travail de proximité, presque intime, souvent pratiqué dans les familles modestes ou les casernes, là où la promiscuité favorisait les infestations.




💡 Son rôle ?

* Examiner minutieusement la chevelure et le corps.

* Retirer à la main les poux et lentes.

* Traiter parfois les vêtements avec des décoctions ou des fumigations.

* Prévenir la propagation de véritables épidémies de parasites.


Un métier entre soin et dégoût

Si aujourd’hui, l’évocation donne des frissons, il faut rappeler que les poux étaient une plaie courante jusqu’au XXe siècle. Le chasseur de poux, bien que peu valorisé, rendait un service sanitaire essentiel.


😏 Un rôle discret mais vital

Dans une époque où l’hygiène n’était pas encore démocratisée, il fut le garant d’un minimum de confort et de santé. Paradoxalement méprisé et indispensable, le chasseur de poux est un parfait exemple de ces petits métiers invisibles qui ont soutenu la vie quotidienne.


De la honte intime au geste libérateur… il incarnait le combat permanent contre l’envahisseur minuscule.


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À très vite pour la suite de la série "Nos métiers d’antan" !

— Bérénice Tarcher ✨




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