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Nos métiers d’antan : Ange-Gardien

  • Bérénice Tarcher
  • 21 oct.
  • 2 min de lecture

✒️ Une plongée dans l’histoire des petits métiers oubliés… et plutôt cocasses !

Ange-Gardien

📍Direction les cabarets, les bals et les foires animées du XIXe siècle. Quand la fête battait son plein et que les tonneaux se vidaient, un métier original trouvait alors toute son utilité : celui d’ange-gardien.


💼 Le métier ? L’ange-gardien était chargé de ramener à bon port les ivrognes après leurs soirées trop arrosées. Contre quelques sous — souvent payés d’avance par les taverniers ou les compagnons de boisson —, il s’assurait que les fêtards retrouvent leur foyer (ou au moins le bon quartier) sans accident ni bagarre. Une mission à la fois sociale, comique et parfois périlleuse !


💡 Son rôle ?

  • Escorter les clients ivres jusque chez eux.

  • Les empêcher de tomber, se perdre ou provoquer des rixes.

  • Éviter les arrestations pour trouble public.

  • Parfois les “déposer” chez un proche… ou directement sur un banc, si le trajet était trop long !


🏛️ Un métier entre soin et survie

Souvent issus des classes populaires, ces “anges” travaillaient à la nuit tombée, en marge de la société. Ils connaissaient les quartiers comme leur poche et développaient une incroyable patience — car raccompagner un soulard exigeait sang-froid et humour !


😂 Un ange aux mains solides plutôt qu’une auréole

Derrière ce surnom ironique se cachait un vrai service public de la nuit : celui qui veillait sur les fêtards quand la raison avait disparu dans les vapeurs d’alcool.


🍺 On pourrait presque dire que c’étaient les premiers services de “raccompagnement à domicile” !


📌 Pour en découvrir d’autres :


À très vite pour la suite de la série "Nos métiers d’antan"!

— Bérénice Tarcher ✨




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